MiM

1 producteur, 12 featurings. C’est le projet de MiM à travers l’album Cycle(s) qui réunit un panel d’artistes croisés au fil de ses projets, à l’écran ou en studio.

Chaque morceau de Cycle(s) se sent libre d’être un titre original, faisant fit des formats et des contraintes au profit de la collaboration avec l’artiste invité. Pour les quatre premiers titres déjà sortis, merci donc d’accueillir : Nathan Daisy (dOP), José Reis Fontāo (Stuck in the sound), Selma et la comédienne Alice David (Bref). Quatre artistes d’horizons divers que MiM a rencontré au fil de ses projets et qui parlent, chacun, à leur manière, d’une humeur.

La relation toxique
Alice David, c’est “cette fille” de la série à succès Bref diffusée sur Canal + dont MiM signe le générique et plusieurs musiques. Alors connue comme comédienne, avec des rôles dans des courts et longs métrages (Babysitting, Demain tout commence, Les Ex, Demi-sœurs, La Source..), Alice David écrit et interprète avec MiM le titre Fire. Son tout premier single. 

La rencontre
Avec Selma, la rencontre se fait lors d’une soirée dans le studio de JAW à Barcelone. Les convives jouent alors de la musique en toute liberté, explorent, testent, imaginent et soudain MiM entend la voix de la chanteuse franco-brésilienne Selma. Il associe alors leurs deux univers dans le titre Samba Do Gringo, qui raconte ces moments hors du temps, la rencontre comme point de départ d’un nouveau cycle.

Le chagrin d’amour
Dans la guestlist de Cycle(s), on retrouve aussi José Reis Fontao du groupe Stuck In The Sound. Déjà chanceux de nombreuses collaborations, notamment sur les albums de The Toxic Avenger, Merwan Rim, Dj Pone ou Kavinsky, José appose son blase au second single jazz-funk-electro de Cycle(s) : Sweet Love 90.

La déraison
Alors que MiM collabore avec l’univers hip hop : Disiz la Peste, Fianso, Youssoupha, Laetitia Dana, il travaille aussi sur l’album de Nathan Daisy aka JAW. Chanteur du groupe dOP et connu pour le morceau «no eyes» avec le groupe Claptone, MiM co-signe avec Jaw le titre 3 Hours Ago It Was Already The End: « une ode aux gens de la nuit qui ne savent pas s’arrêter tant que c’est encore bien et poussent toujours le bouchon plus loin qu’il ne le faudrait. Il y a trois heures, c’était déjà la fin. »

Crédit photo : Gabriel Dugué