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Thaïs Lona

Thaïs Lona dévoile son premier album « CUBE » ! C’est un véritable voyage à travers son monde, où l’artiste nous partage ses différentes cultures, inspirations et styles musicaux… Une fusion de multiples éléments qui amènent donc vers son première album !

Comment décrirais-tu ta musique à quelqu’un qui te découvre en une phrase ?

Une musique pour les adeptes de la soul, du groove et du hip hop, pour tous les optimistes et ceux qui auraient besoin de l’être un peu plus.

Quand et comment s’est passé ton déclic musical ?

Il y en a eu plusieurs au travers de Disney pendant l’enfance. J’ai commencé la harpe à l’âge de 6 ans après avoir vu « Les Aristochats » puis j’ai commencé à rêver de chanter après avoir été subjuguée par « Hercules ». En parallèle, les influences musicales de mon beau père ont consolidé mon amour pour la musique et plus particulièrement les musiques afro-américaines et jazz.

Y a-t-il un titre sur l’album qui t’es venu plus facilement que les autres ?

J’ai composé le titre « Don’t save me » en quelques heures seulement… ce titre était libérateur pour moi.

Le début du morceau 180° est très engagé, d’où t’es venue l’inspiration derrière celui-ci ?

J’ai composé et écrit cette chanson il y a 5 ans après avoir été exposée à un discours homophobe durant une soirée où un homme me confiait être excité par le fantasme de deux femmes dans son lit mais dérangé cependant par un couple lesbien… cumulé à toutes les autres expériences sexistes auxquelles on peut trop souvent être confronté ! C’est là que l’introduction de 180° est née.

Qu’est-ce qui rend ta musique unique ?

Moi ! Étant donné que je suis unique ! (rires). C’est difficile de répondre à cette question sans avoir l’impression d’être orgueilleuse (rires). Surtout qu’il est difficile d’être unique au milieu d’autant de diversité musicales. Mais je dirais que ma musique c’est le résultat d’une émulsion entre ma culture françaises, afro descendante et anglo-saxonne, mon histoire, ma voix… Je cherche toujours à être le plus authentique possible dans ma musique et je pense que c’est surtout en étant sincère que l’on parvient à être unique.

Dans l’album, on peut t’entendre chanter et rapper, si tu devais choisir un des deux lequel serait-ce ?

Actuellement j’aurais du mal à choisir, cela me permet d’exprimer des choses très différentes, mais je pense que je choisirai le chant… J’aurais beaucoup de mal à ne plus chanter !

Si tu devais dîner avec Anderson Paak ou Alicia Keys tu choisirais qui ?

Aïe ! (rires). J’ai eu l’occasion de rencontrer Anderson Paak et son équipe mais un diner c’est autre chose ! (rires). Je crois que je choisirais… Alicia Keys. Depuis que je suis enfant je suis fascinée par son énergie, par son talent et sa créativité, je suis certaine qu’on ressort d’un repas avec elle grandit et full of love !

Des projets pour le reste de 2022 ?

Oh oui ! En juillet j’aurais l’immense joie de jouer à New York sur la scène du SummerStage Festival accompagnée de Revive Big Band dirigé par Igmar Thomas, trompettiste de Lauryn Hill et après ça je regagnerai la France pour jouer au festival de Cognac en première partie de Selah Sue ! Et plein d’autres choses encore dont je parlerai très prochainement sur mes réseaux sociaux.

Crédit photo: Sandra Gomes

Yael Laskar

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