Dead Myth
Après « Living Hell », un single clipé qui annonçait la sortie prochaine d’un opus, l’heure est enfin venue de découvrir Shores, le premier album de Dead Myth.
Formé en 2018, Dead Myth s’illustrait déjà au bout d’un an aux côtés de Slift, The Psychotic Monks ou We Hate You Please Die lors de la première édition du festival havrais Foul Weather. Le trio avait pourtant, à ce moment, sorti uniquement deux titres.
Lauréats de la première édition du dispositif d’accompagnement « Starter », organisé par l’association de musiques actuelles fécampoise Art en Sort, ces jeunes musiciens déterminés sont conviés à interpréter une reprise sur la compilation à visée caritative SICK SAD WORLD Volume 1 / Anti-Covid Covers en 2020.
Un mois plus tard, #1, le premier EP de ce groupe de garage-psyché originaire de la « cité Océane », marquait leur existence durable au sein de l’industrie musicale. Après quatre ans à affirmer sa formule, cette formation qui compte Clément Mehenni à la basse, François Sement au chant et à la guitare, ainsi que Jordan Le Prévost-Lofong derrière la batterie, décide enfin de passer le cap de l’album.
Enregistré pendant près d’une année entière entre Paris et la région Normandie, il en résulte dix titres aussi sombres que percutants, toujours soutenus par les labels Le Cèpe Records, en partenariat avec le Belge Time Room.
Afin de couronner cette sortie et défendre ces nouvelles compositions sur scène, Dead Myth prend la route dès la fin du mois d’avril pour une tournée européenne.
Crédit photo : 666Biche
